Comme si là, soudain, les cieux s'ouvraient devant nos yeux pour laisser passer la main de Dieu

Quand je scanne mes carnets, comment dire..? des bouts de moi s'en vont... Là dans la boîte comme attiré par la lumiére du dedans... On est bien peu de choses

Quand je scan mes carnet, comment dire..? des bouts de moi s'en vont... Là dans la boîte comme attiré par la lumiére du dedans... On est bien peux de chose.

Comment il a fait pour supporter autant de souffrances?

tranche de vie philosophée à la Bess...Cliquer sur le dessin pour mieux le voir... eh ehe eheheh !

La mort ne se vit pas, ce serait le comble ! C’est un peu comme si on rentrait dans une immense pièce sans lumière, ni points de repères. On est perdu, on est vite envahit par le doute et la crainte. Au début on passe la tête, puis on rase un mur pour voir ce qu’il n’y a rien à voir. La peur et la crainte s’efface et là on commence à apprivoiser le vide et le silence.