dimanche, mai 04, 2008



La mort ne se vit pas, ce serait le comble ! C’est un peu comme si on rentrait dans une immense pièce sans lumière, ni points de repères. On est perdu, on est vite envahit par le doute et la crainte. Au début on passe la tête, puis on rase un mur pour voir ce qu’il n’y a rien à voir. La peur et la crainte s’efface et là on commence à apprivoiser le vide et le silence.